Magazine de faits-divers présenté par Jean-Marc Morandini, CRIMES, désormais un maillon fort de la grille hebdomadaire de la chaîne NRJ12, aura une thématique Police scientifique ce lundi 12 mai 2014 à 20h50.
L'animateur et co-producteur du programme vous donne exceptionnellement rendez-vous à l’Institut National de la Police Scientifique de Lyon. L’INPS de cette ville a été le premier laboratoire de police scientifique créé au monde en 1910. Pour l’occasion, Jean-Marc Morandini revient sur 3 faits divers résolus grâce aux avancées technologiques réalisées ces dernières années par la Police Scientifique française :
Le crime presque parfait Le 15 septembre 2005, les proches d’Audrey, 24 ans, s’inquiètent de sa soudaine disparition. Sa mère Antonia décide de mener l’enquête et se rend chez sa fille à la recherche d’indices. Le désordre laissé dans son appartement est surprenant et la présence de son sac à main l’est encore plus... Après des heures passées chez Audrey, Antonia va devoir affronter une vision insoutenable pour une mère : le corps de sa fille gîsant sous son propre lit. Très vite, Antonia comprend qu’elle a été assassinée. Le meurtrier a laissé des traces, un ADN dont la police s’empare rapidement, à tort ou à raison…
Qui a tué Sarah et Saïda ? Le 16 avril 1991, la petite Sarah, 6 ans, s’éloigne de ses amies pour distribuer des gâteaux dans sa petite ville de Voreppe. Le lendemain, les gendarmes découvrent son corps sans vie, dans un parc, à 300 mètres de chez elle. La police scientifique réalise des prélèvements... Mais en 1991, il est encore impossible de déterminer un profil génétique. Les pistes s’effondrent les unes après les autres lorsqu’un second drame frappe Voreppe 5 ans plus tard. Saïda, 10 ans, est retrouvée morte à 2 kilomètres de chez elle. Un tueur en série sévirait-il à Voreppe ?
Innocenté grâce à l’ADN. Le 26 décembre 2002, il est 14 heures lorsque des enfants s’amusent sur un terrain vague à Mulhouse. Soudain, leur jeu vire au cauchemar : ils découvrent un corps dont les membres sont éparpillés dans plusieurs sacs poubelles. La police scientifique identifie rapidement Sabine, une mère de famille disparue un mois plus tôt. Un prélèvement d’ADN sur un cheveu va mettre la police sur la piste d’un suspect. Une preuve scientifique que l’on pourrait croire irréfutable, et pourtant...
Crédit photo © Thomas Vollaire - D8.