Présenté par Harry Roselmack dès 18 heures ce dimanche 21 décembre 2014 sur TF1 : le magazine Sept à Huit. Avec ces reportages :
DERNIER RUSH. C'est la dernière ligne droite avant le sapin, l'un des week-ends les plus fréquentés de l'année. Les week-ends de décembre, jusqu'à 200.000 personnes viennent faire leurs achats de Noël, à Parly 2, dans les Yvelines. Géraldine Doussier et Emmanuel Reitz, Vincent Ferreira et Mathias Denizo ont suivi le dernier grand rush avant les fêtes dans ce centre commercial, l'un des plus grands de France.
DOUBLE VISAGE. Ses collègues le surnommaient Bisounours en raison de son côté affable. Depuis les années 80, cet agent d'assurance de 60 ans aurait trompé une cinquantaine de clients. Comment cet homme serait-il parvenu à soutirer plus de 1 700 000 euros ? Pourquoi son employeur, la compagnie SwissLife, ne s'est-elle aperçue de rien pendant toutes ces années ? Un reportage de Lydie Marlin et Vincent Ferreira.
LES HIRONDELLES D'AGADIR. On les appelle les hirondelles d'Agadir. Chaque hiver, 40 000 retraités français quittent la France pour s'installer au soleil marocain. Nicolas Mondoly et Mathias Denizo ont passé une semaine dans l'un des plus grands campings trois étoiles du pays, sur les plages de l'Atlantique. Là-bas, Annie, Régis et les autres ont trouvé le bonheur, à très bon marché.
NOEL XXL. Tous les mois de décembre, New-York se transforme en un feu d'artifice rouge et or. Avec 5 millions de touristes, chaque année durant cette période, la ville est l'une des premières destinations au monde. Trois milliards d'euros y sont dépensés rien qu'en shopping. Du sapin monumental du Rockefeller Center aux décorations kitch du quartier de Brooklyn en passant par les magasins de la 5ème Avenue... à la découverte de Noël version XXL. Un reportage de Mathieu Benoist et Jean-Charles Guichard.
AMUSEUR PUBLIC. Cette année, 12 millions de spectateurs l'ont vu dans " Qu'est-ce qu'on a fait au bon Dieu ? ". Dans le portrait de la semaine, par Thierry Demaizière et Léo Monnet, Christian Clavier revient sur son choix de vivre à Londres et admet avoir fui l'agressivité qu'il ressentait en France. C'est la vie " banale " qu'il mène en Angleterre et l'éloignement qui lui redonnent aujourd'hui le goût de la France.
Crédit photo © Bureau 233 / TF1 / Ralph Wenig.