Il a 24 ans, il est autodidacte et il a décidé de faire la révolution dans le secteur très verrouillé de l’optique.
Jusqu’ici il fallait débourser une somme non négligeable pour une paire de lunettes de vue. Mais Paul Morlet a décidé d’en proposer à 10 euros. Dans son premier magasin parisien, il les vend comme au Mac Do. Pour obtenir de tels prix, il a court-circuité tous les intermédiaires du secteur. Les opticiens traditionnels, bousculés, émettent des doutes sur la qualité de ses lunettes.
Reportage à voir ce dimanche en première partie dans Capital sur M6.
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Ces nouvelles enseignes qui défient H&M et Zara. On croyait que les géants mondiaux H&M et Zara avaient tout inventé en termes de mode à petits prix. Mais ils sont en train de se faire sérieusement concurrencer par de nouvelles enseignes encore moins chères tout en étant plus réactives et « fashion ». Elles s’appellent Primark, Forever21, Asos ou Vero Moda. Chez elles on trouve des pantalons à 9 euros ou des robes à 19 euros inspirés des dernières tendances et renouvelés tous les 10 jours. Comment un tel tour de force est-il possible ?
Supermarchés : la nouvelle bataille des centre-villes. En centre-ville, impossible d’y échapper. Toutes les grandes marques d’hypermarché ont ouvert ces dernières années des magasins de proximité. Ils s’appellent Carrefour Market, U Express, ou A2 Pas du groupe Auchan. Bien sûr ces grandes enseignes sont venues chercher en centre-ville une autre clientèle en leur offrant des produits parfois différents des hypermarchés. Mais cette nouvelle bataille se joue aussi sur les prix. Résultat, l’alimentation n’a jamais été aussi peu chère en centre-ville. Une course aux prix bas qu’ignorent superbement les magasins Monoprix. La chaîne mise avec succès sur le service aux clients et l’innovation marketing.
Gaz : ils rêvent de faire baisser votre facture Comment faire baisser la facture de gaz qui a explosé de 80% sur 10 ans ? La grande majorité d’entre nous reste sagement chez GDF Suez. Avec ses tarifs réglementés par l’Etat, on pense que c’est forcément ce qu’il y a de meilleur marché. Mais d’autres opérateurs comme l’italien Eni ou le belge Lampiris sont nettement moins chers. Y-a-t-il un risque à basculer chez eux et quels sont les dessous de cette guerre du gaz ?